Faciliter le changement par la pratique du coaching
Nous avons tous fait l’expérience du changement : au travail, dans notre vie privée, au sein de notre famille… et nous savons tous à quel point cela peut-être difficile de se sentir à l’aise dans une nouvelle situation.
Pourquoi parfois résistons-nous au changement ?
La résistance au changement ne semble pas avoir de raisons logiques et elle peut se manifester de manières différentes rendant impossible toute recherche de cohérence.
Récemment les recherches de la neuroscience ont permis de commencer à comprendre les réactions du cerveau dans les situations de changement et cela démontre une chose : il va toujours nous faire essayer de les éviter !
Le changement a une influence directe sur une zone du cerveau, en particulier sur le cortex pré-frontal, qui est assimilable au “processeur”.
Comme sur un ordinateur, celui-ci a une capacité limité et ne peut traiter que quelques pensées à la fois. Une fois la limite atteinte, nous ne sommes pas à l’aise, fatigués ou même parfois en colère.
En raison de cette capacité limitée et du niveau élevé de ressources nécessaires au fonctionnement du cortex pré-frontal, d’autres zones du cerveau sont utilisées la plupart du temps (en fonctionnement “de croisière”). Ces zones sont appelées les noyaux gris centraux et sont le centre des habitudes. Suivre une routine rend notre vie plus confortable.
Pourquoi les méthodes traditionnelles de gestion du changement ne fonctionnent-elles pas ?
La plupart du temps, le changement va être présenté comme le résultat de la réflexion d’autrui et comme une action qui doit être réalisée.
Mais notre cerveau n’a pas été impliqué dans la réflexion, il n’a pas investi l’énergie nécessaire pour créer les nouvelles connections nécessaires au nouveau comportement. Et ceci augmente les signaux négatifs et la peur ressentie renforçant ainsi la résistance au changement.
Quelles sont les meilleures démarches ?
Le meilleur moyen de piloter le changement est donc d’aider les interlocuteurs à aboutir à leur propres résolutions et pour cela créer des moments propices à la pensées.
C’est à ce niveau que le coach a un apport décisif. En posant des questions poussant l’individu à la réflexion, l’aidant à avoir des idées neuves, et ainsi accroissant l’activité du cerveau et créant de nouvelles connections.
Une fois les idées clairement identifiées, le nouveau comportement doit être répété jusqu’à devenir une habitude qui deviendra un système stable de nouvelles connexions du cerveau.
Grâce aux technologies d’imagerie cérébrales nous avons appris que nous utilisons entre 3 et 5% de notre capacité cérébrale. N’est-il-pas temps de créer de nouvelles connexions ?
Pour en savoir plus sur l’analyse neuroscientifique du changement…
Je vous invite également à lire mon ebook « Neurosciences et PNL : Les fondamentaux pour atteindre ses objectifs ».
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Vous êtes tenté par l’expérience du coaching ? Je vous accompagne…
Caroline Wurth Carlicchi – Coach Certifié – 06 95 19 95 32 (Versailles – France)